Comme partout, il y'a des lois à Umpor, mais ici, elles sont dictées par l'argent. Elles sont donc très evasives lorsqu'il s'agit de commerce.
Bien que l'esclavage par exemple soit regit par de nombreux codes stipulant entre autre qu'un marchand d'hommes n'a aucun droit de torture ni de mort sur sa marchandise, il est impossible de faire respecter une telle loie. Il est aisé pour un marchand peu scrupuleux de la contourner en plaidant que sa « bête » était déjà mutilée lorsqu'il l'a acquise. Il arrive en effet très frequement que la clientèle ai des exigence particulières concernant la marchandise. Pour plus de discrétion un esclave « muet » est bien plus commode. La demande la plus frequente reste de faire emprisoner la bete dans un casque de fer, ainsi il est plus facile pour les dames sensibles de ne pas s'attacher à l'aspect humain de leurs serviteurs. Certains marchands pratiquent aussi l'ablation du nez et des oreilles, et vont jusqu'à user de la déformation cranienne dans le même but. Les autoritées sont bien en mal de prouver que c'est fait de la main du commercant puisque certaines region obsures d'Edomn se servent de tels procedés.
Les millieux « intellectuels » d'Umpor commencent à voir dans les esclaves des êtres humains à part entière, douées de sentiment et de reflexion. Cette pensée gagne de plus en plus de nobles dames, mais il est encore trop automatique de se servir d'eux comme de bêtes pour que cette idée ne fasse plus qu'alimenter les conversations des penseurs. Quoi qu'il en soit la situation des serviteurs s'est sensiblement ameliorée ces derniers temps. Certains maitres se targuaient d'avoir les esclaves les plus beaux ou les plus exotiques, leur statut à donc évolué, d'esclaves, ils sont devenus hommes de compagnie, ou suivants. Mais pour la majeur partie d'entre eux le quotidien est une gamelle et un peu de litiere sale pour dormir,le tout dans des conditions de travail impossibles, mais bon, quand n'as plus de langue, on ne se plains pas. Et si on l'a encore, on prie pour que notre maitre n'ai pas la fantasie de nous en debarasser.
Selon sa provenance, ses precedent maitres et ses années de service, l'esclave est tatoué à plusieurs reprises dans sa vie, le tatouage est donc peu apprecié dans les millieux aisés d'Umpor, on lui prefere le maquillage de Xiaos, une figure peinturlurée est donc un signe d'aisance car ces produits coutent cher à Umpor.